Bonjour. Un train, un quai, vous descendez du train cherchant sur le quai l'inconnu qui vous a fait venir. Une petite jupe ou s'engouffre le vent, un chemisier léger comme demandé, vos petits qui pintent sous le froid. Votre tél vibre, un message. Vous sortez sur le trottoir une auto s'arrête vous montez derrière. Une vois enregistrée sort des enceintes de la voiture. Elle vous demande de vous mettre au milieu et de remontée votre jupe jusqu'au haut des cuisses en écartant légèrement les jambes. Une mai,n dirige le rétroviseur vers le bas et vous sentez un regard se poser sur le nid douillet derrière le coton blanc, comme imposé. Maintenant vous roulez, le paysage défile, la campagne. Un virage puis un chemin bordé d'arbres. C'est l'automne, il ne fait ni chaud ni froid . Le tapis de feuilles qui recouvrent le sentier crisse sous les pneus. L'auto stop, a voix vous demande d'ouvrir la vitre. Il se rapproche de la portière, vous ne voyez que sa braguette devant vos yeux. La voix vous demande de vous approcher. Deux doigts font glisser le métal qui entrouvre le pantalon puis les mêmes doigts fouillent sous le tissus, baisse le coton et en sortent un rose, gonflé. Une main appuis sur votre tête, vous rapproche de la chair qui se colle à vos lèvre, il force encore et s'enfonce en vous d'un coup, jusqu'au fond de votre gorge. Vous toussez mais elle tiens bien puis il se retire, se rhabille et l'auto repart.